Si l’on en croit différents signes, les femmes infidèles semblent avoir moins de complexes et moins peur des conséquences de se faire prendre que par le passé.
Et de fait, ces femmes :
- Ont aujourd’hui acquis une indépendance financière qui se rapproche de celle des hommes (et qui leur permet souvent d’anticiper des complications liées à une éventuelle séparation).
- Ne sont plus soumises aux pressions religieuses, sociales ou institutionnelles que l’on a connues à certaines époques (sans parler de la situation spécifique de certains pays musulmans ou en voie de développement, rappelons ici que l’infidélité féminine est longtemps restée soumise à des sanctions pénales en France ou dans de nombreux autre pays occidentalisés).
- Elles décident généralement de tromper leur mari pour de bonnes raisons (lorsque les difficultés conjugales deviennent réellement difficiles à vivre).
- Elles sont plus discrètes que les hommes (elles font plus attention / son plus méthodiques) …
Dans le même temps, les femmes infidèles :
- Semblent ressentir plus de souffrance / de culpabilité / de doutes que les hommes infidèles (si l’on en croit en tout cas l’avis / les témoignages de nombreux spécialistes du couple ou de la sexualité).
- Et d’une manière plus générale :
Les femmes qui se retrouvent seules après une séparation / un divorce éprouvent généralement plus de difficultés que les hommes pour se remettre en couple (différentes statistiques / études sur le célibat, la solitude ou les divorces vont dans ce sens). Autrement dit, les femmes infidèles – qui s’exposent de facto à des risques de séparation – s’exposent à des conséquences qui ne peuvent être négligées / sous-estimées …
Ce trauma est-il-amené à se dissoudre ?
Non, sans doute pas.
Il existe encore.
Mais sous de nouvelles formes plus complexes …
0 Commentaires